L'arbre vient d'un magasin africain à Montmartre mais qui n'existe plus et est en matériau recyclé. Comme souvent dans les boutiques africaines, on y trouvait de l'art traditionnel mélangé à des créations qui relèvent plus de la débrouille qu'autre chose! Un esprit libre et ingénieux respectueux de la culture d'origine. Les oiseaux, eux, viennent de chez "Les mauvaises graines", également boutique montmartroise, et je les ai habillés de masking tape. Au départ, c'était pour cacher la vilaine fêlure de l'un des deux qui s'était cassé en tombant par terre, puis, trouvant ça joli et l'autre oiseau un peu trop nu, je l'ai vêtu d'une cravate à pois! Maintenant, on dirait deux tourtereaux qui se font la cour.
J'aime aussi les fleurs dans la maison. C'est indispensable à la bonne humeur! Leur présence est égayante et chaleureuse. Coupées dans des vases, on les change régulièrement au rythme des coups de coeur et des saisons. Ici, c'est une Amarilys.
Sinon, suivez la tendance, celle qui consiste à planter des fleurs dans autre chose qu'un pot de fleurs! on a vu un post très commenté sur un le blog de anne & dubndidu où elles étaient plantées dans des tasses. On peut aussi les imaginer dans de jolis vases, ou comme pour moi dans des photophores en verre achetés chez Truffaut.
Le problème, c'est que l'eau ne pouvant s'évacuer dans ce type de contenant, de la moisissure se crée et les plantes, pourtant en terre, ne durent pas très longtemps, d'où, les commentaires animés! C'est vrai que ma petite plante là-haut penche dangereusement la tête. C'est pourquoi, je me suis rabbatue vers les cactus! C'est le dernier venu que je n'ai pas encore enlevé de son pot en métal argenté, là, en bas.
Et enfin, les bougies! Oui, mais pas des vraies. J'ai trop peur de mettre le feu. Alors ce sont des bougies qui marchent avec des batteries et sont faites normalement pour le bain. Leur lumière vibre chaleureusement comme celle d'une bougie, on les secoue pour les allumer et à nouveau pour les éteindre! elles se reflètent dans le verre et la lumière ainsi réfléchie se répand, le soir, dans mon petit jardin intérieur.
